Du 22 au 25 juin, le 13e Marathon des mots traversera l’Atlantique et mettra le cap sur le Golfe du Mexique et la mer des Caraïbes en compagnie des écrivains venus d’Amérique Centrale (Cuba, Costa Rica, Guatemala, Haïti, Martinique, Mexique, Porto Rico, Vénézuéla) et Latine (Bolivie). Le programme est disponible ici.
Plusieurs ouvrages de 2 auteurs de la littérature cubaine actuelle sont disponibles à la bibliothèque. Zoé Valdès et Leonardo Padura : des auteurs où l'amour du pays très fort transparait dans leurs romans...
Zoe Valdès est une écrivaine née à la Havane, et qui a du s'exiler en France en 1995 suite à la publication d'un de ces livres peu apprécié du régime castriste.
Dans Café Nostalgia, l'auteur crie son amour pour son île à travers le personnage de Marcela, photographe de mode et immigrée cubaine à Paris...
La douleur du dollar, le premier roman écrit après l'exil de l'auteur, est très marqué par la critique du régime cubain.
Rayonnant de lumière et de magie, roulant au rythme provocant et fiévreux de la musique cubaine, l’écriture de Zoé Valdés nous fait entendre, avec insolence et nostalgie, l’inguérissable douleur des rêveurs et le ressac, non moins universel, des dernières utopies
Leonardo Padura est né un peu avant Zoe Valdès, également à La Havane, mais il y réside toujours, bien qu'il soit à peu près inconnu dans son pays.
Journaliste, mais aussi scénariste, Leonardo Padura écrit des romans policiers dont le héros principal est le lieutenant-enquêteur Mario Conde.
Dans les rayons vous pouvez le découvrir à travers plusieurs romans :
- Les brumes du passé
- L'homme qui aimait les chiens
- Passé parfait
Et pour rester à Cuba, je vous propose quelques autres titres :
- Cuba Libre ! de Régine Deforges
- Dayana enfant de Cuba de Barbara CASTELLO
- Dieu n'habite pas la Havane de Yasmina KHADRA
- Havana Room de Colin Harrison